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Lorsque votre agence travaille à la création de projet web, vous avez besoin de ressource humaine fiable pour constituer votre équipe. Pour trouver cette ressource, vous pouvez procéder de deux manières, l’impartition ou l’interne.

Ce choix particulièrement difficile à faire, dépend de votre entreprise et de vos besoins, sur le long terme ou sur le court terme ainsi que le niveau de compétence dont vous avez besoin.

Pour aider à ce choix, voici une brève analyse des différences entre l’embauche de développeurs internes et l’impartition d’une équipe de développement pour vous aider dans votre stratégie d’entreprise.

Embauche d’un développeur à l’interne

Avoir quelqu’un à l’interne signifie avoir quelqu’un de proche, qui peut être appelé directement et tenu responsable de ce qui leur est chargé de faire. Avoir des garanties internes des délais de réponse plus rapides.

Avoir des développeurs internes donne également à votre entreprise plus de choix de recrutement. Vous pouvez ainsi choisir une personne qui s’adapte parfaitement à votre culture d’entreprise, et avec qui vous pouvez bien communiquer.

L’impartition d’équipe

L’embauche d’une équipe de développement Web externalisée peut apporter un avantage à votre entreprise.Lorsque vous engagez un employé en interne, vous devez lui fournir un travail qui répond à son ensemble de compétences. Ceci est particulièrement contraignant, lorsque vous êtes une agence avec plusieurs clients et projets. En sous-traitant à une équipe offshore, vous choisissez d’embaucher des ressources humaines avec leur propre ensemble de compétences. Une bonne équipe est construite de telle sorte qu’il y aura toujours quelqu’un qui a l’expertise dont vous avez besoin.

De plus, l’impartition peut également faire économiser de l’argent de votre entreprise. En effet, si vous n’avez pas le travail nécessaire pour que le développeur interne soit occupé 40 heures par semaine, 52 semaines par année, vous gaspillez de l’argent. L’externalisation vous permet de payer le travail, lorsque vous avez un réel besoin.

Déterminer les besoins de l’entreprise

Déterminer exactement ce dont votre entreprise a vraiment besoin en ressource humaine, est la racine de la décision entre l’embauche en internet et la sous-traitance. Déterminez donc, les compétences techniques dont vous avez besoin auprès de votre équipe, votre budget et énumérez exactement ce qu’il vous faut pour mener à bien vos projets.
Si vous envisagez d’embaucher, assurez-vous que ces besoins seront satisfaits sur le long terme.
Si vous ne trouvez pas un moyen de répondre à ces besoins en interne ou que vous avez besoin de compétences sur une courte période, choisir d’externaliser vos besoins de développement est probablement le meilleur moyen.

Prédire l’avenir du développement web est souvent difficile et risqué. Car chaque développeur choisi la technologie la mieux adapté à son projet. Cette diversité de choix est liée au reflet d’une personne, à sa façon de travailler et son environnement, qu’il soit en agence ou dans une grande entreprise. Cependant l’aventure en vaut la peine, cet article présente notre vision future du développement web applicable aux développeurs du Web quelle que soit leur techno préférée et leur environnement de travail.

Cinq technologies à surveiller

Parmi les innombrables technologies dont se servent les développeurs, il y a celles qui sont dans une phase montante. Connus des classiques, JavaEE, Ruby ou encore PHP déclinent pour laisser place à ce qui pourrait être l’avenir des technologies web. A la pointe des plus citées, se trouvent AngularJS, ReactJs, ou encore le fameux langage de programmation Go créé par Google.
Découvrons AngularJS
Développé par Google, Angular a réussi à s’imposer dernièrement dans la création des applications web dynamiques de type mono page. C’est un Framework JavaScript MVC créé pour rendre le développement front-end le plus simple possible.

Let’us Go

Go est un langage de programmation du géant Google et permet la réalisation d’opérations concurrentes. Créé au départ pour la programmation système il est maintenant étendu aux applications web. Il permet également de générer du code pour Android. Pour 2018, notre pari sera fait sur Go. Ce langage permet de créer des taches concurrentes de façon à établir plusieurs process en même temps.
Facebook réagi avec ReactJs
Pour créer des interfaces utilisateurs, il n’y a pas mieux que la librairie JavaScript ReactJs. Créé par Facebook et Instagram, son unique but est de manipuler le Document Object Model (DOM) d’une page web pour laquelle l’affichage serait amené à changer en fonction de l’évolution des données.

Rust, parlons-en

Langage de programmation compilé, Rust a été conçu par Mozilla. Supportant la programmation purement fonctionnelle, procédurale et orientée objet, Rust est décrit comme l’un des successeurs potentiels de C++.

R, pour vos analyses statistiques

R est un logiciel libre de traitement de données et d’analyse statistique. A l’heure du big data, il est intéressant d’avoir un regard sur ce genre d’outil afin de manipuler des données.

Les tendances dans l’innovation des applications

Déjà en 2017, la tendance pour le concept d’« intelligence omniprésente » a ravi la vedette. Beaucoup d’entreprises ont intégré dans leur site des agents conversationnels qui répondent aux questions fréquentes des clients donnant ainsi une solution incontournable qui résout les différences horaires.
De nombreux systèmes sont aujourd’hui en mesure d’apprendre, de s’adapter et, d’agir de manière autonome plutôt que de simplement exécuter des instructions prédéfinies. Le tchat bot est une innovation qui constituera le principal champ de bataille des fournisseurs de technologie dans les années à venir.
Dans le secteur des services bancaires, le recours à des techniques d’Intelligence artificielle pour modéliser des transactions courantes en temps réel et pour établir des modèles prédictifs de transactions selon les probabilités que celles-ci soient frauduleuses, constitue la principale tendance en 2017. D’autres applications telles que les préposés à la clientèle virtuels (PCV) offrent des fonctions plus spécialisées dans des domaines comme la vente et le service à la clientèle.

Faire connaître une marque sur le web, engager des clients ou prospects autour de ses valeurs, voilà la mission principale d’un community manager en 2017. Pour ces professionnels du digital, il ne s’agit plus d’envahir les espaces avec du contenu plus ou moins intrusif. Cette méthode classique laisse place au native advertising, en l’occurrence le brand content qui permet d’intéresser le visiteur potentiel. Concevoir une telle stratégie nécessite un travail de connaissance de sa cible.

Cultivé, empathique, et ouvert d’esprit, le community manager a en charge des domaines souvent sensibles puisqu’il gère l’image d’une entreprise ou une marque sur les réseaux sociaux. Son rôle devient de plus en plus central dans le développement de l’image de marque. Donner la parole à celui qui, le plus souvent converse du bout de leurs doigts et partager avec vous le quotidien de ces personnes aux multiples dimensions relationnelles, c’est le pari de Nogae Group. Quelles pratiques mettre en place en 2017 ?

Un storytelling basé sur l’éphémère et l’exclusif

Le secteur du B2B opte de plus en plus pour le storytelling. L’avantage est qu’il est basé sur l’instantané et l’exclusif. Ce caractère intrinsèquement éphémère génère des avantages dans la relation client. Car il permet à l’entreprise de créer un sentiment d’urgence, suscite l’envie et valorise le client et prospect par du contenu qui leur correspond. La diffusion de contenu spécifique bonifie la relation entre une marque et sa base de clients et leads. Les clients se sentant de facto considérés.

Du contenu live et immersif

Les marques devraient tirer profit des opportunités offertes par les plateformes de diffusion de contenu en live ou de photos 360°. Ce contenu implique davantage les clients dans la valorisation de l’image de l’entreprise.

Cette interaction est bénéfique pour la marque : elle enrichit son storytelling grâce à un support engageant. Pour le client et lead, cette nouvelle pratique est génératrice d’authenticité, de vérité, de proximité avec l’entreprise.

Mettre en place des chatbots

La tendance des chatbots a envahi le web en 2017, grâce à leur intelligence artificielle, ces modules de dialogue jouent un excellent rôle dans la gestion de la relation client. Le lien établi par les community manager est maintenu grâce à une disponibilité de 24/7 permettant ainsi de répondre à un désir d’autonomie de la part des clients et prospects.

Mettre la vidéo au centre de votre dispositif

Mettre la vidéo au centre du dispositif est primordial pour plusieurs raisons. La vidéo vous permet de raconter différemment une histoire pour attirer l’attention et ainsi bénéficier de la puissance détenue en termes de buzz. Elle est l’un des formats les plus partagés sur les médias sociaux. Environ 8 milliards de vidéos sont visionnées chaque jour sur Facebook. La vidéo, c’est donc le levier à déployer dans une stratégie digitale.

L’Humain au cœur de votre stratégie e-CRM

Au cœur des préoccupations du community manager se trouve l’humain. En représentant la marque ou l’entreprise, les community manager de Nogae Group créent une relation fondée sur des valeurs d’empathie avec leurs communautés. Il est donc important de créer du contenu qui informe, éduque, fait rire si votre audience et le style de votre entreprise le permettent bien évidemment ! Le community manager met en avant les conseils et l’apport de valeur ajoutée avant d’envisager la vente d’un produit.

Les qualités nécessaires à ce métier

Chez Nogae group comme ailleurs, les community manager ont des qualités professionnelles remarquables. Chaque interrogation est prise en charge pour montrer leur disponibilité, leur empathie et la capacité à s’imposer pour gérer les éventuels conflits. La réactivité garantit une considération qui consolide les liens avec les clients. Ils doivent répondre en instantané aux commentaires qui sont faits sur Facebook, donner des informations à ce qui le demande sur LinkedIn. Le community manager se montre réactif pour satisfaire sa communauté. Le dernier conseil pour être un bon community manager est d’être curieux pour s’adapter à tous les changements et renouvellements des outils disponibles.